« À l’aube de la Décennie des Nations Unies pour les sciences océaniques au service du développement durable (2021-2030), je souhaite que l’Ifremer soit, en tant qu’institut de référence en sciences océaniques, le garant d’une science belle, utile et partagée, déclare François Houllier, PDG de l’Ifremer. La recherche obéit à des canons déontologiques particuliers mais se doit d'être ouverte à la société, au-delà des seuls initiés, tout particulièrement sur un sujet tel que l'océan, bien commun dont l'humanité a la responsabilité en partage ».
En ouvrant les portes de l’institut à des acteurs investis dans le maritime en raison de leur profession, de leur engagement associatif ou citoyen, l’Ifremer veut intégrer la dimension sociétale comme une composante essentielle de ses programmes de recherche. Inscrite dans les documents stratégiques de l’établissement – le projet d’institut à l’horizon 2030 et le contrat d’objectifs et de performance 2019-2023 – cette volonté d’être en prise avec la société s’est d’abord traduite par la signature d’une charte d’ouverture à la société, conjointement avec 7 autres établissements scientifiques. Elle franchit aujourd’hui un nouveau palier avec la création du comité des parties prenantes.
Les 4 priorités d’actions du comité des parties prenantes de l’Ifremer :
Sont particulièrement recherchées les personnes issues de la société civile qui pourront contribuer aux travaux du CPP :
Le comité sera composé de 20 membres maximum, nommés pour une durée de 5 ans.
Toute personne qui cultive des liens forts avec l’océan peut présenter sa candidature au sein de l’un des 5 collèges définis :
Les candidatures seront analysées par un comité de sélection, réuni par l’Ifremer en juillet 2021, et composé de grands témoins du monde maritime et de membres du conseil d’administration de l’Institut. L'installation du comité des parties prenantes sera effective dès septembre 2021.
Clôture des candidatures : le 27 juin 2021
Suivez l'actualité
du Technopôle Brest Iroise sur