Le Pôle iD4CAR a organisé, avec le soutien de Renault, PSA Peugeot Citroën et les industriels de la filière Véhicules sur le territoire, cette seconde édition du Challenge Dream 4 CAR.
Le concours était ouvert aux étudiants des écoles d’ingénieurs, de commerce et de design.
Des étudiants de 3 écoles brestoises - l'Ensta Bretagne, France Business School, l'EESAB site de Brest, a produit un concept qui répond aux changements de consommation de mobilité actuelle.
En mars 2013 les étudiants sont déjà partis en stage et nous n'avons pu les interviewer, mais leur dossier était suffisamment riche pour en extraire des éléments d'information et même leurs commentaires sur leur projet.
"Nous nous sommes répartis en trois groupes de travail, et avons organisé des réunions transversales régulièrement. Les équipes :
Partie marketing : Jean-Philippe Deloddere, Céline Hélary
Partie technique : Antoine Bertrou, Tudi Guillamot, Julien Millet
Partie design : Pauline Maldant
Nous avons également pris contact avec diverses agglomérations telles que Rennes et Brest qui se montrent très favorables à ce genre d’initiative. Ainsi, bien que ces agglomérations soient encore en phase d’étude de marché concernant les véhicules électriques, notre projet a de très bonnes chances d’aboutir étant donné l’enthousiasme de nos interlocuteurs."
"Au sein de nos établissements, le projet de « mobilité pour tous » a été proposé parmi de nombreux autres. Au-delà du sujet, c’est l’opportunité de travailler en équipe multidisciplinaire qui nous a séduit. Ce projet était complet car riche d’expériences différentes, qui se rencontrent et créent une nouvelle expérience qui dépasse les frontières du scolaire. Aussi nous étions tous conscients du challenge que représentait le travail entre étudiants de cultures théoriques éloignées, mais ce fut une excellente épreuve humaine (si si c’est vrai).
Nos formations nous ont appris des méthodes, des vocabulaires différents.
Apprendre à travailler réellement ensemble est un terreau fertile à une innovation cohérente. « Les designers travaillent très différemment des marketeurs! J’ai eu l’impression que vous êtes partis dans tous les sens alors que nous nous sommes focalisés sur le marché.»
L’absence de chef de projet a compliqué les prises de décisions. À la fois, c’était un bon point dans le sens où il a toujours fallu qu’on s’accorde pour chaque résolution, chacun devant défendre ses positions et accepter des compromis. « Mais la vie est faite de compromis » (Céline) Les marketeurs canalisaient les designers dans ce qu’ils bousculaient de nos habitudes d’utilisation, les designers ont insisté sur l’ergonomie d’usage malgré la résistance auw changement.
Le problème principal a été les emplois du temps. Il aurait fallu que les écoles se mettent d’accord pour travailler ensemble. Nous avons réfléchi ensemble mais séparément. La solution de se retrouver pendant deux ou trois semaines intensives auraient été pas mal. En même temps, cette contrainte nous a poussé à trouver des alternatives. C’est comme ça que nous nous sommes réunis tous les week-end et que nous avons prouvé – au sein de notre équipe et auprès de nos tuteurs - notre motivation.
La table des matière de leur dossier de 120 pages :
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